Quatre générations issues du street art.
De Villéglé, à Gérard Zlotykamien, à Yz, à Sambre, à L’Atlas…quatre générations d’artistes urbains se sont appropriés, soit une pièce d’appartement, un espace, un bout de mur ou étalé sur deux étages comme Sambre, du sol au plafond pour laisser libre court à leurs langages jusque sur le mur des cours intérieures de l’immeuble. « Le lieu a créé un attrait énorme chez les artistes… Un lieu mythique mis à leur disposition en plein centre de Paris… » confie Jean Pierre Marois. La résidence a accueilli pas moins de cinquante artistes pendant quatre mois alors qu’il pensait en recevoir une dizaine au départ.