A l’ère du recyclage et de la mode vintage, la « chine » attire New-Yorkais, russes, asiatiques, collectionneurs de tous horizons sans distinction de classe.
Stars du ciné, ouvriers, aristocrates et illustres inconnus dialoguent autour de curieux objets de désir.
Car c’est cela, la chine : se laisser toucher par le bizarre, palper des pièces, marchander, dans un lieu décalé, un grenier à ciel ouvert. Et puis s’attabler pour rêver ou fêter les bonnes acquisitions. En un mot, « chiner » est, plus qu’un commerce, un véritable style de vie.