Monsieur Z n'est pas dans un rapport narcissique avec ses dessins.

Même s'il dit rechercher le beau, il ne s'agit pas pour lui de se l'approprier mais plutôt de transmettre une émotion.
“Ce que j’aime, dit-il, ce que je contemple, je le met à plat et je le met à disposition des autres. J’aime partager, j’aime trouver. Plus je trouverai quelque chose d’universel, plus je serai persuadé de toucher le plus grand nombre. Un peu comme le nombre d’or: on sait que c’est forcément beau car ça fait partie des structures mentales à travers des proportions acceptées par tous, qu’on soit grand, mince, gros, noir blanc jaune, riche, pauvre.”
“Dans mes dessins, dit-il, je cherche une beauté universelle. Je suis persuadé que, en dehors des codes graphiques ou culturels, il existe du beau qui peut plaire à tout le monde, une esthétique commune à tous les hommes et femmes. Quelles que soient les cultures… je pense que le sentiment du beau, c’est inné”.
Après des études à l’école Estienne puis un DESS en images de synthèses, il a travaillé comme directeur artistique pour la presse et la publicité et participé aux magazines ‘Monsieur’ et ‘Wallpaper’. Une fois installé dans le sud, il a dessiné les paysages du Var, pour son plaisir, avant que son travail, remarqué par quelques élus, ne soit sollicité pour vanter les charmes des villes de la Riviera varoise. Coté technique, Monsieur Z commence par dessiner au crayon de couleur. Puis il scanne son croquis et le retravaille sur ordinateur via le logiciel Illustrator. Son travail d’illustration est tiré en format 50×70 cm sur papier Fine Art de 350 grammes. L’impression, réalisée en digigraphie sur papier chiffon, garantit la tenue dans le temps. Chaque Illustration est éditée en 65 exemplaires, signée et numérotée de la main de l’artiste.