juillet 2018
Passé le portail en bois peint de vert, la calade alignant les galets de la Durance descend en pente douce vers le jardin, pensé et entretenu par Jean Giono qui y vécut de 1929, date de l'acquisition de la maison, à sa disparition en 1970.

Depuis la terrasse, un escalier à double révolution descend dans la jungle luxuriante peuplée de palmiers, de cèdres et d'oliviers.
Un jardin pleins de recoins, de cachettes, d’ombre et de lumière formant un écrin autour du lieu de vie d’une famille unie et réunie autour de l’écriture. Si la roseraie a disparu, reste le buisson vigoureux de la rose Jean Giono créée il y a 25 ans en l’honneur de l’homme, une rose jaune à très grandes fleurs doubles de couleur jaune soleil, qui embaume la fenêtre de sa bibliothèque.